Trail des Anglais : près de 900 coureurs au départ ce dimanche 27 Février 2011
Victoire de Juanito LEBON et Daisy PAUSE
Juanito Lebon, longtemps à la lutte avec Eddy Narayanin s’impose en 2h18, 4 mn devant Eddy Narayanin et 6mn devant René Paul Léocadie
Chez les femmes, victoire de Daisy PAUSE en moins de 3h devant Martine Maillot et Clarisse Hoarau
Toutes les infos sur le site runraid – Trail des Anglais
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devant un trio Français, les 4 premiers terminant dans la même minute !
1 JORNET BURGADA Kilian SPAIN 1:27:08
2 BON MARDION William FRANCE 1:27:19
3 BUFFET Yannick FRANCE 1:27:38
4 BLANC Didier FRANCE 1:28:04
Course individuelle : doublé Espagnol avec la victoire de l’Espoir Mireia MIRÓ chez les femmes :
1 MIRÓ VARELA Mireia SPAIN 1:24:54
2 ROUX Laetitia FRANCE 1:27:17
1 JORNET BURGADA Kilian SPAIN 0:24:44
2 BUFFET Yannick FRANCE 0:24:48
3 BON MARDION William FRANCE 0:25:15
Vertical Race : doublé Espagnol avec la victoire de l’Espoir Mireia MIRÓ chez les femmes :
1 MIRÓ VARELA Mireia SPAIN 0:27:34
2 ROUX Laetitia FRANCE 0:28:34
3 ARRÓ Gemma SPAIN 0:30:41
Résultats HOMMES par équipes : les Français ont franchi les 1ers la ligne d’arrivée mais ont écopé d’une pénalité de 3mn (!) et sont déclassés à la 3ème place …
Au terme de 2h30 de course, cest léquipe française de Didier Blanc et William Bon Mardion qui franchit en premier la ligne darrivée. Trente secondes derrière, suivent les Italiens Eydallin Matteo et Denis Trento, qui crient au scandale et portent réclamation
Les Français nauraient pas fait le dernier portage. Une version validée par William et Didier, qui en revanche assurent navoir eu aucune directive à ce propos. Des réclamations en cascade se sont enchainées toute l’après-midi.
Bref, en dépit des articles du Règlement International de l’ISMF, le jury, mené par Antoine Cina, donnera raison au Italiens. Les Français se voient donc pénalisés de trois injustes minutes, et descendent de deux marches.
Ils restent néanmoins sur le podium, mais nous livrent une médaille de bronze amère.
Leur course témoigne de leur excellent niveau de forme, et ce résultat attisera à coup sur la détermination du reste de l’Equipe de France à gagner les prochaines courses ! (extrait du site http://www.ski-alpinisme.com)
1 Matteo Eydallin/Denis Trento (IT) 2:30:32
2 Manfred Reichegger/Lorenzo Holzknecht (IT) 2:32:35
3 William Bon Mardion/Didier Blanc (FR) 2h 29:52 + 3mn de pénalité
4 Pietro Lanfranchi/Damiano Lenzi (IT) 2:34:08
5 Alexandre Pellicier/Valentin Favre (FR) 2:35:36
6 Alexis Sevennec/Nicolas Bonnet (FR) 2:39:02
7 Alexander Fasser/Hakub Herrmann (AT) 2:39:46
8 Kilian Jornet/Marc Pinsach (ES) 2:43:50
Sprint : course décalée à mecrcredi matin
1.
Arrivée de Kilian Jornet épuisé, 1er de la Verticale Race Andorre 2010
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Transvolcano : Fabrice Armand ou Jeannick Sery ?
Jeannick SERY et Fabrice ARMAND ne se lâchent pas depuis le Piton Textor
Dans la remontée de l’enclos, après un aller-retour jusqu’à la Chapelle Rosemond, ils sont toujours côte à côte, suivis de Wilfrid Ouledi et Eddy Myrtal
en direct des sentiers de la Réunion avec Mobile post from the Esendex BlogIt service
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La station de Pelvoux (Hautes-Alpes) accueillait la première étape du circuit de Coupe du monde 2011. L’occasion de tester un nouveau format de course : le sprint. «La discipline se réjouit de la mise en place de cette nouvelle course, explique Pierre You, président de la Fédération Française de la Montagne et de l’Escalade (FFME). Très spectaculaire et visible par le public depuis le front de neige, elle s’apparente aux épreuves de boarder-cross en ski alpin.» Une nouvelle épreuve remportée samedi par les deux Français, Alexandre Pellicier et Laetitia Roux. «Le sprint est une course très stimulante ! On est toutes au coude à coude, dans la montée comme dans la descente… ça ne se joue à rien, et la moindre erreur t’envoie au fond du classement», résume Laetitia Roux.
«Entre les qualifications et les différentes phases de finales, la journée s’avère très coûteuse en énergie, précise Alexandre Pellicier. Il faut pourtant parvenir à en garder sous le pied pour la course classique du lendemain.»
Seule Laetitia Roux parviendra d’ailleurs à tirer son épingle du jeu, en terminant à la deuxième place de la course classique, dans les traces de sa rivale espagnole Mireia Miro. Chez les hommes, c’est le prodige Catalan Kilian Jornet, bien connu des adeptes du trail, qui avalera le plus rapidement les 1450m de dénivelé positif de l’étape, suivi de très prêt par le Français William Bon Mardion. «Les conditions étaient vraiment difficiles, nous avons eu de la pluie pratiquement tout le long du parcours, explique le Français. J’ai eu pas mal de difficultés, en particulier au début à cause des sabots : des amas de neige qui se créent sous les peaux, et qui te freinent. J’ai recollé au peloton de tête, juste derrière Kilian, puis dans la descente, j’ai distancé le groupe mais Kilian était vraiment trop loin.» La prochaine étape de cette Coupe du monde se disputera, à Gavarnie (Hautes Pyrénées), les 22 et 23 janvier. Auriana Beauté
HOMMES
Coupe du monde
1. Kilian Jornet (ESP), 1h19’12 » (1h19’57 » – 45 » de bonification sur le sprint)
2. William Bon Mardion (FRA), 1h20’09 » (1h21’06 » – 57 »)
3. Martin Anthamatten (SUI), 1h20’26 » (1h21’49 » – 1’23 »)
…
7. Yannick Buffet (FRA), 1h22’28 » (1 h 23’04 » – 36 »)
8. Valentin Favre (FRA), 1h22’50 » (1h23’23 » – 33 »)
16. Alexandre Pellicier (FRA), 1h24’25 » (1h26’30 » – 2’05 »)
Sprint
1. Alexandre Pellicier (FRA)
2. Marcel Marti (SUI)
3. Robert Antonioli (ITA)
FEMMES
Coupe du monde
1. Mireia Miro (ESP), 1h15’28 » (1h16’55 » – 1’27 »)
2. Laetitia Roux (FRA), 1h17’36 » (1h19’18 » – 1’42 »)
3. Nathalie Etzensperger (SUI), 1h25’24 » (1h26’24 » – 1′)
Sprint
1. Laetitia Roux (FRA)
2. Mireia Miro (ESP)
3. Gabrielle Magnenat (SUI)
extrait de l’article de lequipe.fr (
Arrivée de Kilian Jornet épuisé, 1er de la Verticale Race Andorre 2010
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extrait de l’article : http://www.surfsession.com/2010/jeremy-flores-remporte-le-pipe-masters/
Le jeudi 16 décembre 2010 restera un jour HISTORIQUE pour le surf français et même européen : le Réunionnais Jérémy Flores s’est imposé sur la plus prestigieuse épreuve du World Tour : le Billabong Pipe Masters.
Le Français s’était qualifié jeudi pour les quarts de finale en battant notamment le précédent vainqueur de l’épreuve Taj Burrow.
La compétition a repris hier dans des conditions plus petites mais toutes aussi parfaites que la veille, offrant une nouvelle fois de jolis tubes sur Backdoor.
ASP/Cestari
Jérémy Flores a ouvert le bal en battant Owen Wright en quarts de finale, tandis que Kelly Slater sortait Adrian Buchan (désignant ainsi Parko comme vainqueur de la Triple Crown).
Dans les demi-finales, le Français affrontait Kelly Slater, en grande forme comme avait pu en témoigner son 10 parfait hier. Jérémy a donné le ton dès les premières minutes avec un 9,57 pts, avant de se faire doubler par Slater (sur une vague au jugement discutable). Heureusement, Flores a su trouver un loooooong tube dans les dernières secondes du heat pour reprendre la tête et et se qualifier ainsi pour la finale.
ASP/Kirstin
Dans la seconde demi-finale, l’Australien Kieren Perrow, qui s’était payé Jordy Smith en quarts, a pu s’imposer devant le Californien Dane Reynolds et gagner lui aussi son ticket pour la finale.
Une finale qui rassemblait donc Jérémy Flores et Kieren Perrow, un scénario que personne n’avait osé imaginer quelques heures plus tôt.
Dans une série longtemps dominée par l’Australien, c’est finalement Jérémy qui s’est finalement imposé en reprenant la tête à moins de 2 minutes de la fin grâce à un long tube noté 9,37 pts.
Coup dur pour Kieren Perrow, mais une performance inouïe pour le jeune Français (déjà deux fois demi-finaliste cette année à Tahiti et au Portugal) qui remporte ainsi sa première épreuve du World Tour, empochant ainsi 75 000 $ et passant de la 14eme à la 9eme place du classement ASP World Rankings.
D’autres infos sur le site runraid
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Dimanche 5 décembre – SaintéLyon 2010 : victoire de Denis MOREL et Maud GIRAUD
Des conditions hivernales ont accueilli hier soir les 5700 coureurs engagés sur la version individuelle de la SaintéLyon. A minuit, le peloton s’élançait du palais des Sports de Saint Etienne pour 68km, sous une météo sèche, des températures négatives. Au fil des kilomètres, la neige tombée en abondance ces derniers jours sur la région se transformait en glace parfois très épaisse et piégeuse, qui provoquait quelques belles embardées pour certains.
Manu Meyssat prenait rapidement la tête des opérations, mais devait abdiquer, vaincu par une contracture musculaire qui l’empêchait de finir l’épreuve. Le Champion de france des 24h 2010, Denis Morel, prenait la suite du commandement, pour terminer en tête au Palais des Sports de Gerland, en 5h18.
A la deuxième place, on retrouvait Manu Gault, déjà présent sur cette même marche du podium de l’épreuve l’an dernier. David Pasquio termine 3e.
Chez les filles, cavalier seul de Maud Giraud, imbattable sous des conditions hivernales en 6h12, à la 34e place du scratch.
Simultanément au départ de la SaintéLyon, était donné, depuis Sainte Catherine, celui de la SaintExpress (44km), où quelque 2000 coureurs s’étaient inscrits. Après une boucle de 4 kilomètres autour du village de départ, les concurrents prenaient le circuit emprunté par la SaintéLyon. Au final, Oswald Cochereau l’emporte en 3h31:29, devant Sébastien Farano et Alexandre Richard. Victoire chez les filles de Fleur Carron en 4h29, devant Véronique Dupras.
(extrait du site endurance-mag.com)
Dimanche 7 décembre – SaintéLyon 2008 : victoire de Fabien Antolinos et Sonia Furtado
Fabien Antolinos qui avait déjà fait un joli marathon d’Annecy cette année récidive à la barbe des favoris et remporte la 55ème édition de la Saintélyon. 5 h (et 10s) pour parcourir dans la nuit noire les 69 kilomètres séparant Saint-Etienne du Parc des Sports de Gerlan à Lyon. 5h pour semer les frontales de ses poursuivants. Quelques petites erreurs de parcours ne l’ont pas empêché de l’emporter. Vincent Delebarre finit sur ses talons 4mn plus tard et pense « aux vacances » tandis que le coureur skieur Ludovic Pommeret complète le podium en 5h08’52. Pour lui, maintenant, place aux courses de ski alpinisme .
Chez les féminines, Catherine Dubois aurait aimé faire le doublé 2007-2008 mais c’est Sonia Furtado qui la devance en 5h49’16. Sonia visiblement surprise pour qui cette épreuve n’était pas l’objectif de la saison. Sonia heureuse qui n’a jamais bien terminé aux Templiers et aimerait y revenir. Une touche à tout sportive qui a croqué la course à pied pour le plaisir comme le triathlon et les courses aventures.
(extrait du site VO2 runinlive.com)
A vos frontales ! La 55e édition de la course entre Saint-Etienne et Lyon se déroule dans la nuit du 6 au 7 décembre 2008. Au menu: 69 kilomètres dans les monts du Lyonnais, en individuel ou en relais.
L’édition 2007 a battu l’an dernier son record de participants avec 8200 courageux qui ont relié les capitales ligériennes et rhodaniennes en pleine nuit.
La tradition est respectée cette année avec une arrivée devant le palais des sports de Gerland, après un an « d’exil » à la cité internationale. Mais avant de voir Gerland au petit matin, il faudra résister à la terrible épreuve des monts du Lyonnais, de nuit et dans le froid. Les coureurs pourront en plus profiter des animations de la Fête des lumières de Lyon. La protection de l’environnement sera également mis en lumière avec des « brigades » chargées de nettoyer le parcours.
Seul, à 2, 3, 4… en courant ou en marchant… chacun trouvera son compte dans cette 55e SaintéLyon.
Pour succéder à Franck Proietto et Catherine Dubois, rendez-vous sur le 7 décembre …
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Arrivée au Palais des Sports de Gerland : victoire de Denis MOREL (champion de France 2010 des 24h) en 5h 18mn devant Emmanuel MEYSSAT à 3mn (5h 21′ 34) et David PASQUIO à plus de 5mn (5h 24′ 07)
Chez les féminines, victoire attendue de Maud GIRAUD en 6h 12mn devant Anne Sophie ASTRUIT (6h 50) et Maria Semerjian 07:14:54
Saint Christo en Jarez – km 16 :
Sainte Catherine – km 28 : Emmanuel GAULT passe en tête en 01:57:46 devant un autre Emmanuel, MEYSSAT et Julien NAVARRO (02:00:04) suivis de David PASQUIO et Denis MOREL (02:00:28)
Soucieu en Jarrest – km 45 : Emmanuel MEYSSAT en tête
Manu Meyssat domine la course avec 4 min d’avance sur le Villeurbannais Mizar Sghaire suivi de Pascal Giguet et Manu Gault à environ 30 secondes
Suivaient Denis Morel et David Pasquio a un peu plus de 7 min.
Côté météo
La SaintéLyon s’élancera dans des conditions inhabituelles puisque la neige sera présente tout au long du parcours.
Le froid sera également de la partie avec des températures prévues entre -8°C et -4°C, la nuit devant être claire et étoilée, augmentant l’effet de regel mais donnant également une luminosité exceptionnelle.
Côté course, oici la liste des favoris à quelques heures de l’épreuve nocturne de cette fin d’année 2010…
Quelques 6 000 coureurs tenteront de venir à bout des 69 kilomètres sur la version solo.
Les favoris sont au nombre d’une dizaine pour inscrire leur nom au palmarès et succéder à Christophe Malardé.
Il faudra surveiller de près David Pasquio, Emmanuel Meyssat, Emmanuel Gault, Patrick Rey, Bastien Bravais, Mikael Pasero, Olivier Romain ou encore Jean Franck Proietto, Pascal Giguet ou l’ancien Champion du Monde de Cyclisme Laurent Brochard qui avait terminé 38ème en 2009, pourraient brouiller les pistes.
Chez les filles, la tenante du titre Maud Giraud sera à suivre pour sa dernière course de la saison, il faudra néanmoins compter sur Sylvie Boissy.
Pour les relais à noter les forfaits du relais à 4 du Team Adidas (Breuil / Guichard, / Depaepe / Court) et du duo (Favre / Govignon – Lafuma) sur le relais à 2 (source Endurance Mag)
Arrivée Palais des Sports – km 69 : Christophe MALARDE gagne en 4h 52mn , loin devant Emmanuel GAULT (5h 05) et Michel VERHAEGHE (05:10:13)
Chez les féminines, victoire de Maud GIRAUD en moins de 6h (5h 54) devant Catherine DUBOIS (6h 33) et Anne-Sophie AUSTRUI (6h 46)
Classements complets, Historique, Palmarès, … sur le site runraid
LYON Centre – km 63 :
Beaunant – km 57 : Christophe MALARDE pointe en 4h 00′ 04 ce qui devrait le faire arriver au Palais des Sports en moins de 5h ! Il a creusé un écart de 10mn sur son second, GAULT Emmanuel
Soucieu en Jarrest – km 45 :
Saint Genoux – km 34 : Christophe MALARDE pointe en 2h 36’47, 4″ devant MOREL Denis Alain et GAULT Emmanuel alors que Vincent DELEBARRE est à 25″ suivi de COCHEREAU Oswald. Ces 5 coureurs ont creusé un net écart avec les suivants : Samuel BONAUDO et Bastien BRAVAIS sont à 5mn, POMMERET Ludovic,LANCELEUR LUDOVIC et PIGNARD JÉRÉMY à 6mn 30,
Maud GIRAUD pointe à 3h 05 et creuse un écart de 17mn sur Catherine DUBOIS et 26mn sur AUSTRUI Anne-Sophie
Sainte Catherine – km 28 : les 5 premiers au poste de Moreau sont encore ensemble (Christophe MALARDE, COCHEREAU Oswald, Vincent Delebarre, MOREL Denis Alain et GAULT Emmanuel ) alors que BRAVAIS Bastien est à moins d’1mn et LEGAT Eric à 1mn10
Chez les féminines, Maud GIRAUD creuse l’écart (2h 16); Catherine DUBOIS est à 12mn suivie de AUSTRUI Anne-Sophie à 17mn et CLERET Liliane à plus de 20mn (2h 37′)
Moreau – km 22 : Vincent Delebarre et COCHEREAU Oswald pointent ensemble en 1h 32′ 35 suivis à quelques mètres de Christophe MALARDE, MOREL Denis Alain et GAULT Emmanuel
Saint Christo en Jarez – km 16 : départ très rapide et formation d’un petit peloton avec l’ensemble des favoris :
1 Vincent Delebarre 1h 04′ 44 – 2 BRAVAIS BASTIEN et MOREL DENIS ALAIN à 1″ – 4 GAULT EMMANUEL à 2″ – 5 MALARDE CHRISTOPHE à 5″ – 6 COCHEREAU OSWALD à 10s …
Chez les féminines, Maud GIRAUD a pris largement la tête en 1h 13′ 55 et Catherine DUBOIS est à 7mn suivie d’Alexandra ROUSSET et AUSTRUI ANNE-SOPHIE (10mn) puis CLERET LILIANE et PEGAZ ALEXANDRA à 13mn
Classements complets, Historique, Palmarès, … sur le site runraid
Voici la liste des favoris à quelques jours de l’épreuve nocturne de cette fin d’année…
Eric LEGAT, coureur du Team PUMA et sociétaire du FAC Andrézieux, un des clubs partenaire de la Saintélyon, spécialiste du 100 km, récemment vainqueur du Marathon des Causses et fidèle de la Saintélyon (2ème en 2007) sera au départ : Un solide prétendant. Il sera accompagné par Aurélien BRUN du Team PUMA, vainqueur à la Sainte-Victoire en 2008.
Ludovic POMMERET est partout cette année : 1 bon mois de récup après la Diagonale des Fous, il sera au départ … pour le podium.
Thomas SAINT GIRONS, récent vainqueur de lUltra Trail des Templiers préfère saligner sur le relais 2 avec la bondissante Céline LAFAYE
N’oublions pas Vincent DELEBARRE et … Laurent BROCHARD
Quand à Philippe REMOND, le marathon man du team Nike, il na pas encore confirmé. Mais si il vient, cest pour gagner.
Quelques mots de Ludo Pommeret interviewé par Christophe Rochotte pour VO2 :
Quelle est l’épreuve qui t’a le plus marqué cette année ?
– La Diagonale des Fous. C’est un format que je ne connaissais pas. En plus, la Réunion étant une île, c’était un peu plus dépaysant que ce que je fais d’habitude.
Quid de la magie de la nuit évoquée par la majorité des participants ?
– La magie de la nuit je l’imagine lorsque l’on progresse au cur du peloton avec ce flot de lumières qui telles des lucioles illuminent l’infini. Là, ça le fait. Mais pas quand tu cours seul dans la nuit, dans les sections de forêts ça passe encore. Par contre, sur certains secteurs on ne voit que du goudron. Je ne trouve pas ça intéressant, mais ça fait partie de la course. Après en arrivant sur Lyon, c’est plus sympa.
Pour toi, quelles difficultés majeures présentent de cette course ?
– En fait, c’est la rapidité. Par rapport à la Diagonale des Fous, ce n’est pas du tout le même genre d’effort. Déjà durant la SaintéLyon, on court tout le temps et on progresse aux alentours des 14 km/h. A la Réunion, c’est du 8 de moyenne et c’est très typé trail. Là, c’est plus orienté route, donc vitesse. Il s’agit d’un format spécifique mi-route, mi-trail. La difficulté consiste à tenir au moral, afin de maintenir une cadence assez élevée. Il n’y a pas de descentes techniques. Pour bien aborder cette course, il faut avoir suivi une préparation adaptée conciliant la distance et la vitesse. Ce n’est pas mon cas. 70 km avec un peu de dénivelé, je suis habitué. Par contre la vitesse, c’est plus dur.
Au fond, quel est ton objectif ?
– Faire aussi bien que l’an passé, je pense que je n’y arriverai pas. Après, s’il y a moyen d’être dans les 10, ça serait pas mal. On verra bien. Tout ça n’est pas bien grave. Ca ne va pas m’empêcher de vivre, si je ne rentre pas dans les 10. Tout ce que j’espère, c’est qu’il ne pleuvra pas et que je ne me blesserai pas.
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La quinzième édition des Templiers a réservé son lot de surprises ce dimanche à Nant.
Chez les hommes Thierry Breuil (Adidas) remporte une victoire « dont il rêvait » au terme des 72 kilomètres d’une course palpitante.
Il s’impose en 6h27min13s devant Franck Mantel 6h34min45s, auteur d’une superbe remontée dans le final venant au passage subtiliser une place à Thomas Lorblanchet (Salomon) troisième en 6h37min21s.
Gilles Guichard (Adidas) qui a fait une course sage termine au pied du podium devant David Pasquio (Salomon) qui aura eu du mal à s’alimenter sur la fin de la course.
Chez les féminines, Maud Giraud (Scott, Raidlight) marque de son empreinte cette année 2009 en ayant maîtiser la course de bout en bout malgré le retour de la marathonienne Laurence Klein (Adidas) à Dourbies.
Elle s’impose en 7h24min58s, sa dauphine (championne de France de marathon en V1 la semaine passée) est à 11 minutes, tandis que Isabelle Jaussaud (ex membre de l’équipe de France de course en montagne) complète le podium en 7h40min57s.
Corinne Raux, ex marathonienne, traileuse et raideuse de haut niveau termine 4ème pour son retour à la compétition après ses nombreux pépins physiques.
Karine Herry, qui avait abandonné à l’UTMB sur blessure et qui depuis a remporter le Grand Raid de Nouvelle Calédonie termine 5ème
Au classement du Championnat de France 2009, c’est donc les 2 vainqueurs des Templiers qui sont titrés.
A noter que 8 contrôles anti-dopages ont été effectué sur les premiers hommes et femmes du classement scratch.
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Comme chaque année, la « grand-messe » de la remise des dossards et dernier briefing a eu lieu ce mercredi 21 octobre après-midi au stade de la Redoute où les 4100 concurrents (Grand et Semi Raid confondus) ont du patienter pour récupérer leur dossard ainsi que quelques petits « cadeaux ».
Lire l’article du site Zinfos974 : Grand Raid : début de l’aventure !
Une minute de silence a été marquée en hommage à Christian Renard, raideur récemment emporté par une longue maladie. Un hommage a également été rendu aux raideurs décédés lors du Grand Raid du Mercantour, dans les Alpes-Maritimes, au mois de juin dernier. L’une des victimes était une femme qui avait participé six fois à la Diagonale des fous. « C’était émouvant et absolument nécessaire » déclare Robert Chicaud.
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Pascal PARNY, le vainqueur 2008, ne sera pas sur la ligne de départ …
Armada métropolitaine (article de Lukas Garcia paru le jeudi 17/09/09 sur Clicanoo
Hier, lors de la conférence de presse, l’organisation a également levé le voile sur les noms des principaux postulants. Valeurs sûres de nos sentiers, anciens vainqueurs, stars hexagonales…
La course au podium est plus ouverte et plus relevée que jamais : Pascal Parny, l’extraterrestre, va retrouver sur sa route Didier Mussard mais aussi Richard Técher, Wilfrid Oulédi, Yoland Maillot, Richeville Esparon ou Thierry Chambry.
Une large liste de prétendants réunionnais qui ne seront pas de trop pour contrer une armada métropolitaine privée de podium en 2008 mais toujours aussi fournie. Guillaume Le Normand, Antoine Guillon, Julien Chorier ou Nicolas Darmaillacq, vainqueur du Grand Raid des Pyrénées il y a quelques semaines, sont de retour.
Le « petit nouveau », c’est Ludovic Pommeret, vainqueur presque partout où il est passé cette saison. La valeur sûre, c’est Sébastien Chaigneau, troisième en 2005 lors de sa première venue et deuxième du dernier UTMB. Originaire du sud est de la France, il répète à l’envi que son voyage à la Réunion est LE grand objectif de sa saison et qu’il n’était au Mont-Blanc que pour « bouffer » du dénivelé. Sous nos cieux, il va faire la rencontre d’une autre montagne. On le sait depuis hier, elle se nomme Pascal Parny
Lukas Garcia
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La Reunion, ile intense